Paris, épisode 15 (retour bzh)
Après un retour trop bref pour le premier week-end en Bretagne depuis le début du stage, il a bien fallu revenir à la vie parisienne. Je l'avoue, à contre coeur puisque je n'avais pas eu le temps de voir et faire tout ce que j'aurais voulu en deux jours... Nord-finistériens, je ne vous oublie pas. Alors comme ça le temps n'est pas élastique ??? Un billet de tgv marqué "Place assise selon disponibilité" m'a pris la tête (ben oui, je paye le même prix que les autres !) pour quitter le pays. Finalement, les 4 derniers sièges de chaque voiture (au moins dans les dernières voitures) sont en fait sans réservation, donc pour les gens dans ma situation. La différence c'est qu'en prenant le train à Quimper, je suis sûre que personne n'aura déjà pris ces places puisque c'est le démarrus (inverse du terminus). Une place assise donc, mais un moral un peu grincheux. Ce n'est pas le prof de maths qui corrige les copies à côté de moi qui me le redonnera...
Le train du retour (quimper-paris) m'a semblé très très lent, et bonus : 20 minutes de retard (à 10 minutes près on nous remboursait!!!). Arrivée à 19h30 finalement. Retrouvailles avec le punk (le retour !), et pause chez Quick pour prendre des forces avant de rejoindre les toits avec nos sacs bien trop lourds (surtout les miens d'ailleurs, je persiste à dire que c'est pas juste !). Rentrage au foyer juste avant 21h, crevée. Les 5 étages ont eu ma peau cette fois ! Rangeage des chaussures (les roses et les noires), crèpes et autres victuailles ramenées de ma chère Bretalie... Pierre au téléphone régulièrement, pour les résultats d'élection, pour des dvd, etc... Un coup de fil à Natcha, ne perdons pas les bonnes habitudes... Mon nez est moins douloureux (je peux mettre les lunettes sans crier...), encore quelques jours et la 'boxe' ne sera plus qu'un souvenir parisien qui nous fera marrer dans quelques semaines... Une bonne douche brûlante (je sais, ce n'est pas bon pour l'hydratation cutanée, mais à ma décharge, on ne peut pas régler la température au foyer... Sandy pourra confirmer !).
Et puis, vint l'heure de fermer ses yeux et de se dire : c'est reparti pour un mois (environ) parisien, en attendant, souviens-toi de ce week end...
à suivre...