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atchoum vous veut du bien... (in the soft madness of my mind ...)

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7 janvier 2012

2012

C'est la fin du blog.

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18 décembre 2011

Paris, épisode 100 (100 déjà !)

clement

Quatre ans bientôt et 100 épisodes sur ce blog. Eh ben le temps passe. Bon, que dire si ce n'est que 2012 devra relever les manches pour être plus top que 2011. Fin d'année et donc bientôt les vacances. Youhou ! Oui bon ok, je serais plus enthousiaste dans une semaine car cette dernière semaine de labeur s'annonce tendue. Mais bon, j'espère seulement que cette année on n'aura pas la neige pour faire la route vers la Bretagne. Le spectre des 10 heures de route plâne encore et me redonne des frissons. Croisons les doigts.

Sinon pas grand chose de neuf. Tout va bien. J'ai eu hier la première visite de mon neveu Clément dans notre appart, je suis trop fière ! Il a été super sage, comme d'habitude. Mais je sais que ce premier bébé proche est une exception, un bluff créé par la sélection naturelle pour inciter les autres à en vouloir un pareil. Oui je sais que certaines personnes seraient ravies, mais non. Normalement, les bébés ça pleurent et on me fera pas croire que bébé Binom n'est pas un intrus ! Faut pas déconner, je préfère pour l'instant être la Tata Blabla (comme ça je n'ai que les bons côtés et pas de couches à changer) et voir si les autres bébés nés dans les années 2010 sont aussi sages avant d'en vouloir un. J'attends donc que mes frères tentent le coup... Parce que faut pas déconner : la sélection naturelle n'est pas toujours positive. Allez, Joyeux Noël les gens, prenez soin de vous. Bisous !

vérojohn

20 novembre 2011

Paris, épisode 99 (Pré-noël)

Ok, ok, je sais, ça fait plus d'un mois que ce blog est mort. Mais bon, ce qui me connaissent savent que j'ai une assez bonne excuse qui m'a bien occupée. Deux bonnes excuses si on compte celle du 13 novemnbre. Revenons-en maintenant au présent. Tout va assez bien même si c'est encore assez mouvementé dans ma vie et celle de mes proches ami(e)s. Ici, la vie est belle. La température extérieure a baissé, ce qui n'est pas sans me réjouîr. Bon ok, dans quelques semaines je vais râler. D'ailleurs je râle déjà parce qu'avec le changement d'heure, il fait nuit quand je pars et quand je rentre. 

J'ai enfin fini les albums photos pour les parents et grand-parents, je pense que ça fera des bons cadeaux de noël. Enfin, je l'espère. J'ai aussi réussi à prendre 10 minutes pour faire mon sapin de noël. Et rien que ça, c'est positif. Je vais ensuite commencer à harceler mes amis en prévision du post-noël. Enfin, si j'ai le temps ! Il faut que je le prenne. Quand ? Je ne sais pas encore mais ça va venir, ne soyez pas trop pressés... 

à suivre...

8 octobre 2011

Phrase du jour

Elle est de Tifenn qui, fatiguée depuis qu'elle s'est levée et trouve que la journée ne passe pas vite, déclare : 

"Il est 18h depuis 10h !"

Pas mieux...

2 octobre 2011

Paris, épisode 98 (News)

Quoi de nouveau ici ? Pas grand-chose et tellement à la fois. Je cours encore et toujours pas mal dans tous les sens. Et quelque chose me dit que je ne suis pas prête d’arrêter. Mais sinon la vie est belle. Mon appareil digestif semble vouloir faire une trêve, ce qui est une excellente nouvelle. Nous n’avons pas encore signé d’acte de paix mais les discussions se passent bien. Ah si, quand même. J’attends l’automne avec impatience même si en ce 30 septembre il fait 29°C dehors… Je hais Paris encore plus quand il y fait chaud. Vivement l’hiver, le froid, la pluie. Bref, ces jours où l’on est content de rentrer dans le métro parce qu’il fait chaud. En attendant, je souffre en y allant parce que je sais que je vais crever de chaud et sentir toutes les terribles odeurs de transpiration autant à 7h du matin qu’à 6h du soir. Au moins avec les manteaux d’hiver, on évite ces odeurs (généralement). Pour preuve, je suis allée en robe au boulot, ce qui arrive en moyenne (établie sur les 2 dernières années) une fois par an.

Sinon le moral est bon, j’attends de pied ferme la troupe de filles anti-dignité qui doit venir faire ma fête ce week-end. En fait j’ai surtout hâte de retrouver les copines et les copains. Rien que ça, c’est bon pour le moral et ça aide à passer la semaine. Malgré la chaleur.  

Edit : super week-end. Je n’ai pas encore la force de tout écrire, mais j’espère bien le faire un jour quand j’aurais plus de temps. En attendant on a les photos et les vidéos :)

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18 septembre 2011

Enterrement de dignité, épisode 2.

Le réveil est facile et avec le sourire ! Je ne sais pas ce qui m’attend ce soir mais je m’en fous, je suis encore sur mon nuage et souris bêtement dans le rer en repensant àla veille. Déjàdeux sms de copines qui ont eu un sommeil très léger aussi, ravies de m’avoir autant fait plaisir. Arrivée au boulot, Marie m’appelle. Elle est heureuse et compte bien m’envoyer le mail de l’assistante d’Alain Chabat qu’elle a contactée pourla surprise. J’ai donc le temps d’écrire un petit mot moi aussi pourla remercier. J’écris d’une part un mail pour l’assistante car c’est la pièce maitresse du jeu. Et d’autre part un petit mail pour Monsieur Alain Chabat. Je note aussi que mon seul regret est de ne pas avoir de souvenir (photo, dédicace) mais que mes copines m’ont promis de me le rappeler lorsque je serais vieille. Elles sont top les copines quand même.

Mardi soir donc. Véro m’a donné rendez-vous à 19h30 à la gare de chez nous. Je n’ai pas le temps de rentrer chez moi donc je vais chez Véro directement c’est plus simple. J’apprends que John nous accompagnera. Pas de soucis, plus on est de fous, plus on rit ! L’heure est arrivée, Véro se prépare. John lui demande « Je prends mon manteau, non ? Ca va mouiller quand même… » Là, je prends peur, mais John a un sourire qui le trahit. Finalement, Véro m’annonce la couleur : il faut reprendre le rer, dans le sens inverse pour retourner sur Paris… Arrêt Châtelet, mes soupçons sont fondés. On se dirige vers le cinéma, on va voir La Guerre des Boutons en avant-première. Cool !! Sur l’affiche : ‘avec l’équipe du film’. Arythmie cardiaque. Finalement, ce ne seront pas les acteurs adultes qui sont là mais trois enfants, avec le réalisateur et les deux producteurs. Mon cœur ne subira pas une nouvelle attaque ce soir, c’était trop tôt aprèsla première. Unequestion me perturbe : comment a fait Bernadette Soubirous pour résister (cardiaquement) à plusieurs apparitions de (son) Dieu ?

Bon film, avec Alain (oui, je l’appelle Alain maintenant) et Eric Elmosnino en instituteurs très crédibles et drôles ! Sans parler de Fred (d’Omar et Fred) en curé hilarant. Les enfants sont bien choisis (volontairement « castés » pour leur non-expérience au cinéma) mais je ne crois pas avoir convaincu John et Véro d’appeler Junior, Tigibus. Dommage…

22h30, il est temps de rentrer. On rate le train de 35, il faudra attendre celui de 23h03. On monte dedans, direction Gare de Lyon. Là, on nous annonce que le train ne s’arrête pas à Maisons Alfort après 23h pour cause de travaux (pourtant quand on est monté dedans il était bien marqué comme desservant la gare…). Bon, on descend. Résultat, il faut attendre le bus de 00h10… On décide qu’à 3, le taxi ne sera normalement pas exorbitant donc on file. On fait la queue, on demande au taxi Maisons Alfort - Alfortville, il hésite puis accepte. Il râle (parce qu’il n’aura personne au retour et donc devra retourner vite à la gare) mais bon, c’est son métier et on est fatigué, tout ce qu’on veut c’est rentrer. Un quart d’heure plus tard je suis chez moi. Une douche et à minuit je suis en position horizontale. La journée de demain sera longue. Mais la vie est belle. 

14 septembre 2011

Enterrement de dignité, épisode 1.

Ca fait deux mois que j’endure (de façon consentante) les sms, les appels, les sous-entendus, les remarques sur ce qui sera mon enterrement de vie de jeune fille, rebaptisé enterrement de dignité (EDD). La date m’a été longtemps cachée, mais une fuite m’a sauvée. Du coup, j’étais plus cool, ne craignant pas l’invasion tous les samedis matins.

Mais c’était sans compter sur mes amies qui savent faire monter la pression. La semaine dernière je reçois donc un sms de Sandy qui me demande si je peux partir du boulot lundi à 16h. Réponse : non. Pas la peine de chercher, impossible de trouver une excuse pour partir 2h plus tôt, je ne suis pas cadre, un boss pas des plus souples et j’ai déjà une conférence de presse le jeudi et je refuse l’excuse médicale. Et ne comptez pas sur moi pour donner la vraie raison du départ : l’introduction de l’EDD. Après insistance de la part d’une des principales comploteuses, je montre à Anne (ma n+1) le dernier sms qui dit « Anne peut m’appeler si elle veut ». Elle rigole bien et me dit que bien sûr je peux partir plus tôt, « on ne se marie qu’une fois dans l’année… enfin dans la vie ! ». Juste à ce moment là, Natcha m’appelle… Pas la peine de négocier avec moi, je lui passe Anne. 5 minutes de complot plus tard, Anne me sourit et me dit que finalement je devrais partir à 15h30. C’est le début d’un week-end d’angoisse. Je reçois donc un sms de Sandy qui m’indique que je devrais suivre les consignes envoyées par téléphone à partir de lundi 15h30. Je me vois déjà aller en bas d’un vieil et glauque immeuble, devoir taper le code à l’interphone, monter au 3ème étage en faisant attention aux trous dans l’escalier. Entrer dans un appartement et m’asseoir dans la salle du fond en attendant qu’on vienne me chercher pour je ne sais toujours pas quoi. Oui, j’ai vu beaucoup trop de séries télévisées américaines. J’en ai bien pris conscience.

Dimanche Solène appelle, elle me demande de lui passer Guillaume. Je refuse puis cède. Je comprends vaguement que le mardi soir aussi il ne faut pas que je compte sur un retour à la maison tranquille. L’angoisse et le stress reprennent. Je rêve où je suis un pantin et je ne dirige plus ma vie ? J’appelle Natcha et lui explique qu’à partir de mardi je n’obéirais plus à rien avant le jour J défini au départ comme le jour de l’EDD. Elle est touchée par mon stress et me propose de me dire où je vais pour me rassurer. Pas question de gâcher la surprise de mes amies, mais simplement de leur faire comprendre que la méthode de mise sous pression n’est pas la bonne : je m’attends au pire, pas au meilleur (comme elles le voudraient). J’ai quelques soupçons, j’en parle à Guillaume qui ne semble pas être au courant.

Lundi arrive donc, j’avoue ne pas être rassurée. Midi, j’ai un mail de Véro. Elle sera avec moi ce soir, je dois la rejoindre à la station Javel avant 16h. D’un coup, de savoir que je ne serais pas toute seule et qu’en plus je serais avec ma Binom me rassure énormément. La pression retombe, la joie commence : une surprise m’attend.

J’arrive à destination, Solène me surprend, elle vient aussi. Cool ! Véro arrive quelques minutes plus tard. J’ai regardé sur Google ce qu’il y avait à proximité de cette station, je sais à peu près à quoi m’attendre. Enfin c’est ce que je crois. On avance vers notre destination finale lorsqu’on voit des gens faire la queue. Je comprends qu’on va assister à une émission de télévision. Le Grand Journal, c’est indiqué. Cool, j’adore ! Je n’en sais pas plus pour le moment, mais croise bien fort les doigts… Après une demie heure d’attente (et de sms pour prévenir la famille d’enregistrer… alors qu’ils sont déjà au courant), on entre. A l’entrée la fille me dit « Ah, c’est vous la surprise ? » Je réponds oui, force est de constater que je ne savais pas.

Petite parenthèse dans tout ça : pour mon n+2 je suis censée être à une conférence de presse sur le cancer du sein (conférence que j’ai suivie la semaine précédente), Solène officiellement attend le réparateur de machine à laver Darty (qui est passé samedi) et Véro est pour son employeur à son premier cours de préparation à l’accouchement. C’est beau la jeunesse…

On entre donc. On nous prend d’abord notre carte d’identité, puis on laisse tous nos sacs et manteaux. On se retrouve donc sans rien, à attendre au milieu des autres personnes du public. Véro a beau être enceinte de plus de 6 mois, personne ne lui laissera spontanément sa place pour s’asseoir. Par contre, un des pompiers la repère et nous fait nous installer sur le plateau en priorité (VIP !).

Nous passons donc à l’enregistrement de l’émission, enfin des émissions car on enregistre le lundi et une séquence du vendredi avec David Guetta. J’avais déjà assisté à une émission de télé avec Sandy, mais là c’est différent. Gros point négatif (par rapport à l’émission de Ruquier) : ni eau ni nourriture ne sont fournies. Moi qui, étant stressée, avais mangé plus que léger, j’ai super faim ! Et pas question de demander de l’eau sous peine d’être engueulée puis fusillée du regard par la placeuse de public. En plus on n’a pas nos sacs, donc pas d’argent. On abusera encore du gros ventre de Véro pour obtenir quelques euros (remboursés ensuite). Point positif : ça ne dure pas des heures, il y a des pubs et donc des pauses. En plus c’était en direct la seconde partie donc c’était plus intéressant. Le chauffeur de salle était assez drôle donc ça passait vite. Et surtout, j’ai su qu’Alain Chabat, oui ALAIN CHABAT, faisait partie des invités de la suite de l’émission. Alain Chabat, mon Dieu pour son humour (toujours sans méchanceté) mais aussi son attitude qui me parait décontractée alors qu’il pourrait grave se la péter tellement il a du talent. Elles l’ont donc fait. Parce qu’il y a quelques semaines à force d’entendre qu’on me préparait des « trucs qui allaient (me) plaire » pour mon EDD, je leur ai lancé le défi de me faire rencontrer Alain Chabat. Me voilà donc à quelques minutes de le voir.

Enfin arrive la dernière partie, celle avec les invités cinéma, dont Dieu Alain. Tout se passe bien, j’ai un super angle de vue, je suis aux anges. Ils font le show comme il faut et semblent tous à l’aise. Pourtant, déjà la fin de l’émission, ça passe plus vite qu’avec Montebourg… Chabat s’en va discuter avec Denisot et moi je regrette l’absence de mon téléphone qui fait appareil photo. Quand tout à coup, Alain Chabat se dirige vers notre tribune et dit « Elle est où Gaëlle ? ». Non, je rêve, je vois pas pourquoi il aurait dit ça, laisse tomber. Mais là, Véro et Solène se lèvent et me pointent du doigt. Donc non, je ne rêve pas. Alain Chabat me cherche, me regarde (oui, il ME regarde) et me dit « Tu es Gaëlle M… ? ». Euh oui… « Félicitations, j’ai appris que tu te mariais, c’est génial ». Je n’en reviens pas, à ce moment là, Alain Chabat me fait la bise. Les gens dans le public me dévisagent (c’est qui la fille ? pourquoi ?). Mais je m’en fous, j’ai Chabat devant moi et je ne sais plus quoi dire… Il semble touché par mon émotion d’ailleurs. J’explique quand même que je suis chabatiste, il me répond « Ah, c’est toi ? » en souriant. Je ne sais plus vraiment ce que j’ai dit, j’ai souri en tous les cas, ça je n’en doute pas. Je suis super émue et surprise, je ne l’avais tellement pas vu venir ! Et puis, faut pas déconner, il faut qu’il reparte dans les coulisses s’il veut éviter que les gens le harcèlent. Je lui dis que c’est dommage que je n’ai ni appareil photo, ni stylo, il semble aussi déçu (dans ma tête en tous les cas). Il s’en va… Mais des coulisses, il me fait des grands coucous ! Le temps de lui envoyer quelques baisers et il s’en va cette fois pour de bon.

Bon sachant que rien qu’en tapant ça deux jours après je suis encore tremblante, je pense qu’il est impossible de définir mon état après ma rencontre. Je suis touchée par sa simplicité, par le geste. Et suis complètement fan (enfin encore plus qu’avant) de mes amies qui m’ont fait cette incroyable surprise. Je suis un peu perdue. Ah oui, c’est vrai il faut sortir. Mais pourquoi ? Ah oui faut rentrer chez nous. Bon, faut que j’appelle les 3 comploteuses professionnelles. Faut que je remercie tout le monde. Faut que je respire d’abord.  

On ressort du studio, mon téléphone indique : 8 sms, 8 appels en absence et un message sur le répondeur. Finalement je préfère d’abord appeler Sandy, Natcha puis Marie. J’ai le droit au résumé de leur aventure pour parvenir à leurs fins. D’abord le mail au Grand journal sans réponse. Alors Marie a cherché ailleurs. Elle me raconte ça dans un mail mardi matin :

« Je t'avoue que je n'y croyais pas ! Quand elle (l’assistante) m'a appelé elle m'a fait "Marie ?" J'ai dit "Oui...?" "Bonjour Michèle ---- Assistante d'Alain Chabat, on a eu un mail, Heuu, c'est une blague ou pas ?"

Alors moi : "Ben non..."  elle : " OK, je voulais juste vérifier ! Donc c'est bon on a l'accord pour faire quelque chose, on sait pas encore trop quoi, mais on va trouver...."

L’idée de départ des filles était qu’Alain Chabat me passe une corde autour du cou… Un peu compliqué quand même…

Elles sont super contentes pour moi lorsque je leur raconte tout l’épisode. Elles n’y croyaient pas, moi c’est maintenant que je n’y crois pas ! Elles me disent qu’elles sont certaines qu’il a crié mon prénom en arrivant sur le plateau (sur le replay, en effet il crie « Gaëlle »…). J’ai rencontré Alain Chabat. Je n’ai plus faim mais j’ai soif. On va boire un verre avant de rentrer. Les filles me racontent leur point de vue de toute la préparation, etc. Qu’il n’y avait plus de place pour assister à l’émission mais que Sandy a fait le forçing en expliquant que je ne pouvais pas rater cette émission… Véro et Solène m’annoncent d’ailleurs que ce n’est que le début. Bon, le nuage est confortable, mais ce n’est pas lui qui va nous ramener àla maison. Jeprends donc le rer avec Véro, il faut rentrer. Je sais que demain soir m’attend encore quelque chose, mais là aucune idée. A suivre donc.

J’arrive à l’appartement. Guillaume ne dort pas encore et veut entendre mon récit (le pauvre n’a eu qu’un court sms qui disait que j’avais parlé à Chabat, point.). Il a un grand sourire pendant tout mon speach, il parait tellement heureux pour moi ! Il me dit même qu’il a su en fin d’après midi et qu’il a eu Tif, Natcha et Marie au téléphone (et Zoé qui avait vu Guillaume sur le plateau de télé…). Incroyable, il a répondu au téléphone ! Il me dit quand même qu’une fois dans le lit je ne dois plus penser à Alain mais à lui… Je ne m’endors pas tout de suite, c’est pas faute d’avoir compté les Alain ! Merci les copines. La vie est belle. 

à suivre...

28 août 2011

London, the come back !

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11 août 2011

Les timbres : OK.

timbre

1 août 2011

Pris sur le vif

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atchoum vous veut du bien... (in the soft madness of my mind ...)
  • la folie douce est indispensable pour sourire tous les matins en se levant...J'me présente: Bretonne de 20+1 piges qui trouve que, quand même, la vie est belle ! Vous voici donc dans mon univers, BIENVENUE!
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